STARBOARD SLR TEAM SET EVOLUTION MKII C800 2023

Date de création

16 juin 2023 par Eric Glissattitude

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8 ( Dernier 16 juin 2023 par Eric Glissattitude)

Foil
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Programme : La zone verte situe le programme d'utilisation dans la fourchette FREESTYLE / FREERIDE / FREERACE / RACE

Tarif : 5599.00 €

C800 SLR

Produit en édition limitée de 40 pièces pour la France, le C800 est le nouveau fer de lance de la marque Starboard.

Techniquement, la conception du C800 est basé sur

  • un mat plus fin, plus étroit en corde
  • une composition structurelle du mat revue avec des carbones haut module pour compenser la plus faible épaisseur
  • un nouveau fuselage plus fin avec des nouvelles connnexions
  • des ailes et stab entièrement nouveaux, que ce soit en profil, en dièdre et en outline

Tailles des ailes : 750 / 560 / 460  - Fuselages 99 et 110, Stab 210 + 175

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Eric Glissattitude
Posté le 20 juin 2023, 10:24 (Dernier message)
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Oscar muratel a écrit:
Bonjour, quel est le prix Du mat ?Car on ne le trouve pas sur le commerce pour l'instant

Il n'est à priori pas prévu de commecialisation de cette pièce seule. 

Flotteurs : JP Freefoil Pro 115, Phantom IRIS R 85 et Infinite Ltd 76

Foils : Patrik AEON S,  SabFoil Vento 85

Voiles : Severne Hyper 7 de 5 à 8m, NP FreeFlight 4.0

Wisbones : AL360 RTE poignée LISA, LISA Foil T1000 175-225 

Vat33
Posté le 18 juin 2023, 23:27
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The IQfoil is a C600, I thought it was considered C400?
It would be nice to hear what is said about the new C600 mk2, a foil for mere mortals :)

Eric Glissattitude a écrit:
Je dois avouer que lorsque l’on a reçu ce modèle, je n’y croyais plus. Cela fait plus de deux ans que Starboard promettait un foil capable de rivaliser avec ses concurrents à haut niveau, mais force est de constater que le compte n’y était pas, à la fois en terme de performance (avec les premiers modèle C600 SLR trop souples), et de rapport qualité prix (tarif excessif au regard des performances). CONCEPTION ET CONSTRUCTION En observant cette nouvelle version C800 SLR MKII, on constate que le design est beaucoup plus traditionnel qu’un foil comme l’Infinite, plus conforme à ce que l’on avait l’habitude d’avoir chez Phantom l’année dernière, ou chez F4 depuis quelques années. L’originalité du modèle SLR MKII, n’est donc pas dans la géométrie mais bien essentiellement dans sa construction. On pouvais donc légitimement se demander si toute cette attente valait vraiment le coup, et si nous n’allions pas tester une énième version sans gros changement. Et pourtant, comme nous allons le voir, ce C800 marque en réalité un vrai tournant dans l’évolution des foils Starboard. Cela fait des années que l’on demandait à la Tiesda de se pencher sur un mât plus rigide et plus fin car nous on est nous étions persuadé que ça allait changer la donne. Le budget conséquent avait freiné ce développement, mais devant l’envolée des tarifs de la concurrence, Starboard a franchi le pas, et le résultat est réellement à la hauteur de nos espérances. Ce premier test a été réalisé sur deux après midi, par comparaison avec le Phantom Infinite, et le F4 2022 … donc j’estime que ce sont deux références incontournable du marché. La première pour sa glisse imbattable, et l’autre pour son contrôle qui fait réellement référence. Côté réglages, le système de stabilisateur ayant été entièrement revu, on a désormais 5 cales entre -1 et plus 1°, et je dois avouer avoir fait tous les tests avec la cale de zéro qui semble assez polyvalente. PRISE EN MAIN  En comparant le C800 à l’Infinite, le Starboard parait d’une facilité redoutable, très Plug and Play, à l’inverse de son concurrent. Je suis parti avec une cale de zéro, aucun réglages, une aile trop grande par rapport aux conditions, et pourtant, dès les premiers bord, la navigation se fait avec une déconcertant de facilité. Certes, les sensations de glisse et de rigidité sont un gros cran en dessous du Phantom (pas photo de ce côté là) mais la facilité incomparable. On est sur donc deux approches complètement différente qui se qui se justifient toutes les deux pleinement. Pour les aficionados de la performance pure, il est évident que la balance ira certainement vers le Phantom, mais pour ceux qui ont moins de temps à passer sur l’eau, moins de capacité à jouer avec les réglages, et qui veulent simplement un foil très performant, mais accessible, le Starboard va être un choix plus que pertinent … nous y reviendrons. STABILITÉ ET ÉQUILIBRE La grosse force de ce C800 concerne la stabilité longitudinale et le comportement en tangage. Le foil est ultra sain de ce côté, et facile à piloter. Il réagit très rapidement à la moindre de vos impulsions et ordre de pilote, ce qui permet de corriger immédiatement et facilement chaque erreur de positionnement. Il y a un très bon dosage entre réactivité et stabilité. On garde un équilibre traditionnel un peu pied avant, ce qui rassure et stabilise, à l’inverse de la tendance actuelle très Slalom avec des ailes reculées. Sur les axes du lacet et du roulis, on a également fait un pas de géant en avant par rapport au C600, mais on reste en-deçà de ce que peut proposer un F4 ou un Phantom en terme de rigidité. On garde un peu plus de flou dans la conduite, mais c’est désormais parfaitement gérable et suffisant … en particulier avec des ailes de petite dimension (on sent par exemple nettement la différence entre le 750 et la 560). On a juste moins cette impression de netteté et de précision dans la conduite au regard de la concurrence. Le roulis est simple à gérer et ne se dandine pas, cela participe nettement à la sensation de facilité du foil. Comme sur les précédentes génération Starboard, le foil se cale à la contre gite, et on n’a plus besoin de le surveiller … la rigidité latérale en plus cette fois, avec de ce fait moins d’effet élastique. Sur l’axe du lacet, on paye un peu la relative souplesse du mat par rapport à ses concurrents, et la conduite est un petit peu plus floue de ce côté. Mais ça reste un progrès majeur par rapport au C600. GLISSE Toujours dans les comparaisons, les accélérations sont moins franches que le Phantom. Le C800 demande qu’on lui « rentre un peu plus dedans ». Par contre, sa facilité permet de mettre de la puissance dans le gréement sans impression de ce satelliser. On a confiance et on peut l’exploiter ainsi. Au niveau glisse, le pas en avant par rapport aux premières générations de Starboard est assez impressionnant, même si on reste nettement en-deçà de ce que proposent les dernières générations Phantom. Par contre, cette fois, le Starboard fait que égal avec le F4 sur ce point … voir un poil mieux.  Les nouvelles ailes n’y sont certainement pas étrangères, et comme sur les foils concurrents, on va naviguer désormais avec des surfaces d’aile beaucoup plus faibles. Globalement, tous les foils du marché évoluent dans ce sens : plus de glisse, moins de traînée, et par conséquent une vitesse supérieure qui nécessite des ailes moins grosses. C’est une évolution majeure qui va dans le sens d’une vitesse moyenne supérieure, grâce a la traînée réduite. DÉCOLLAGE Je n’ai pas, pour l’instant, eu l’occasion de faire des tests en super Light Wind équipé en 9 m², mais en 8m y compris dans des vents avoisinant les 10knt, la 750 est largement suffisante … je dirais équivalent à ce que l’on avait avec une 900 dans la première génération. Et encore, j’étais en fuselage de 100, donc on peut imaginer qu’avec le 110, on gagne encore de l’assise dans le light. À partir de 15 nœuds, la 560 est nettement plus confortable RIGIDITÉ L’autre aspect très positif de cette évolution vers des ailes plus petites concerne la déformation structurelle. Avec des ailes plus petites, l’ensemble mat et fuselage est moins mis en contrainte. On a la sensation d’une conduite beaucoup plus saine, d’un foil qui se dandine moins, une glisse plus nette, et globalement d’un plaisir largement accru. Avec le C800, on ajoute en plus un mat plus rigide qui renforce encore cette impression.  Dans le cas du Starboard, la différence entre le C600 (IQFOIL), et le C800 saute aux yeux. Même si le C800 reste plus souple que la plupart de ses concurrents comme les Phantom, Patrick, F4, l’évolution par rapport est flagrante. Pour le coup, il n’y a pas de question de niveau : tout le monde ressentira un comportement plus agréable et plus sain avec le C800. Rien que ceci justifie pleinement le remplacement d’un foil ancienne génération … tout au moins pou ceux qui ont le niveau minimum requis pour naviguer avec des ailes fines de petite surface. La glisse et la vitesse supérieures sont un peu la cerise sur le gâteau. CONCLUSION Au bilan, le C800 est réellement un foil attachant, et très facile à prendre en main. Le foil fournit un excellent niveau de performance, avec peu d’efforts, et il est accessible à la plupart des riders de bon niveau.  Certes, il n’aura probablement pas les performances ultimes d’un Phantom ou d’un Patrick, mais compte-tenu de sa facilité, il y a fort à parier que l’essentiel des pratiquants iront plus vite avec un modèle comme celui-ci qu’avec un modèle de course ultime. En comparaison aves les autres modèles qui comptent à ce jour, je dirait qu'il est moins ambitieux que le Phantom en terme de proformance pure. Il reste derrière le F4 en terme de confrôle, mais lui vole quelques points concernant la glisse. C'est un compromis très intéressant accessible à de nombreux pratiquants. La vraie question désormais est d’imaginer l’avenir commercial d’un tel modèle, car le marché a beaucoup évolué ces derniers temps. Désormais, l’essentiel des ventes de produits neufs se concentre autour des foils de course ultime. Y a-t-il encore de la place pour ce genre de modèle relativement onéreux, mais un cran en dessous, en terme de potentiel de performance pure ? Bien sûr, la réalité technique inciterait la plupart d’entre nous à se tourner vers ce type de foil, mais le feront-ils quand on voit l’ensemble des podiums trustés par des modèles plus ambitieux ? La question ne se posera peut être pas quand on quantifie la toute petite quantité de foils C800 produits ... mais je pesne que les quelques heureux acquéreurs ne bouderont pas leur plaisir. 

Oscar muratel
Posté le 18 juin 2023, 10:43
Titre : Starboard c800
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Bonjour, quel est le prix Du mat ?Car on ne le trouve pas sur le commerce pour l'instant

Eric Glissattitude
Posté le 16 juin 2023, 16:29
Titre : Le test
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01 janvier 2020
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13011

Je dois avouer que lorsque l’on a reçu ce modèle, je n’y croyais plus. Cela fait plus de deux ans que Starboard promettait un foil capable de rivaliser avec ses concurrents à haut niveau, mais force est de constater que le compte n’y était pas, à la fois en terme de performance (avec les premiers modèle C400 SLR trop souples), et de rapport qualité prix (tarif excessif au regard des performances).

Conception et construction

En observant cette nouvelle version C800 SLR MKII, on constate que le design est beaucoup plus traditionnel qu’un foil comme l’Infinite, plus conforme à ce que l’on avait l’habitude d’avoir chez Phantom l’année dernière, ou chez F4 depuis quelques années. L’originalité du modèle SLR MKII, n’est donc pas dans la géométrie générale mais bien essentiellement dans sa construction (beaucoup plus raide) et des détails de moulage (profils, bords d'attaque et bords de fuites beaucoup plus fin). Pour info, ce modèle est produit chez Cobra (qui produit également les Phantom) et non chez Sonic comme les autres modèles Starboard. On pouvait donc légitimement se demander si toute cette attente vallait vraiment le coup, et si nous n’allions pas tester une énième version sans gros changement. Et pourtant, comme nous allons le voir, ce C800 marque en réalité un vrai tournant dans l’évolution des foils Starboard. Cela fait des années que l’on demandait à la Tiesda de se pencher sur un mât plus rigide et plus fin car nous on est nous étions persuadé que ça allait changer la donne. Le budget conséquent avait freiné ce développement, mais devant l’envolée des tarifs de la concurrence, Starboard a franchi le pas, et le résultat est réellement à la hauteur de nos espérances.

Ce premier test a été réalisé sur deux après midi, par comparaison avec le Phantom Infinite, et le F4 2022 … donc j’estime que ce sont deux références incontournables du marché. La première pour sa glisse imbattable, et l’autre pour son contrôle qui fait réellement référence.

Côté réglages, le système de stabilisateur ayant été entièrement revu, on a désormais 5 cales entre -1 et plus 1°, et je dois avouer avoir fait tous les tests avec la cale de zéro qui semble assez polyvalente.

Prise en main 

En comparant le C800 à l’Infinite, le Starboard parait d’une facilité redoutable, très Plug and Play, à l’inverse de son concurrent. Je suis parti avec une cale de zéro, aucun réglages, une aile trop grande par rapport aux conditions, et pourtant, dès les premiers bord, la navigation se fait avec une déconcertant de facilité. Certes, les sensations de glisse et de rigidité sont un gros cran en dessous du Phantom (pas photo de ce côté là) mais la facilité incomparable. On est sur donc deux approches complètement différente qui se qui se justifient toutes les deux pleinement. Pour les aficionados de la performance pure, il est évident que la balance ira certainement vers le Phantom, mais pour ceux qui ont moins de temps à passer sur l’eau, moins de capacité à jouer avec les réglages, et qui veulent simplement un foil très performant, mais accessible, le Starboard va être un choix plus que pertinent … nous y reviendrons.

Stabilité et équilibre

La grosse force de ce C800 concerne la stabilité longitudinale et le comportement en tangage. Le foil est ultra sain de ce côté, et facile à piloter. Il réagit très rapidement à la moindre de vos impulsions et ordre de pilote, ce qui permet de corriger immédiatement et facilement chaque erreur de positionnement. Il y a un très bon dosage entre réactivité et stabilité. On garde un équilibre traditionnel un peu pied avant, ce qui rassure et stabilise, à l’inverse de la tendance actuelle très Slalom avec des ailes reculées. Sur les axes du lacet et du roulis, on a également fait un pas de géant en avant par rapport au C400, mais on reste en-deçà de ce que peut proposer un F4 ou un Phantom en terme de rigidité. On garde un peu plus de flou dans la conduite, mais c’est désormais parfaitement gérable et suffisant … en particulier avec des ailes de petite dimension (on sent par exemple nettement la différence entre le 750 et la 560). On a juste moins cette impression de netteté et de précision dans la conduite au regard de la concurrence.

Le roulis est simple à gérer et ne se dandine pas, cela participe nettement à la sensation de facilité du foil. Comme sur les précédentes génération Starboard, le foil se cale à la contre gite, et on n’a plus besoin de le surveiller … la rigidité latérale en plus cette fois, avec de ce fait moins d’effet élastique. Sur l’axe du lacet, on paye un peu la relative souplesse du mat par rapport à ses concurrents, et la conduite est un petit peu plus floue de ce côté. Mais ça reste un progrès majeur par rapport au C400.

Glisse

Toujours dans les comparaisons, les accélérations sont moins franches que le Phantom. Le C800 demande qu’on lui « rentre un peu plus dedans ». Par contre, sa facilité permet de mettre de la puissance dans le gréement sans impression de ce satelliser. On a confiance et on peut l’exploiter ainsi. Au niveau glisse, le pas en avant par rapport aux premières générations de Starboard est assez impressionnant, même si on reste nettement en-deçà de ce que proposent les dernières générations Phantom. Par contre, cette fois, le Starboard fait que égal avec le F4 sur ce point … voir un poil mieux. 

Les nouvelles ailes n’y sont certainement pas étrangères, et comme sur les foils concurrents, on va naviguer désormais avec des surfaces d’aile beaucoup plus faibles. Globalement, tous les foils du marché évoluent dans ce sens : plus de glisse, moins de traînée, et par conséquent une vitesse supérieure qui nécessite des ailes moins grosses. C’est une évolution majeure qui va dans le sens d’une vitesse moyenne supérieure, grâce a la traînée réduite.

Décollage

Je n’ai pas, pour l’instant, eu l’occasion de faire des tests en super Light Wind équipé en 9 m², mais en 8m y compris dans des vents avoisinant les 10knt, la 750 est largement suffisante … je dirais équivalent à ce que l’on avait avec une 900 dans la première génération. Et encore, j’étais en fuselage de 100, donc on peut imaginer qu’avec le 110, on gagne encore de l’assise dans le light. À partir de 15 nœuds, la 560 est nettement plus confortable

Rigidité

L’autre aspect très positif de cette évolution vers des ailes plus petites concerne la déformation structurelle. Avec des ailes plus petites, l’ensemble mat et fuselage est moins mis en contrainte. On a la sensation d’une conduite beaucoup plus saine, d’un foil qui se dandine moins, une glisse plus nette, et globalement d’un plaisir largement accru. Avec le C800, on ajoute en plus un mat plus rigide qui renforce encore cette impression.

 Dans le cas du Starboard, la différence entre le C400 (IQFOIL), et le C800 saute aux yeux. Même si le C800 reste plus souple que la plupart de ses concurrents comme les Phantom, Patrick, F4, l’évolution par rapport est flagrante. Pour le coup, il n’y a pas de question de niveau : tout le monde ressentira un comportement plus agréable et plus sain avec le C800. Rien que ceci justifie pleinement le remplacement d’un foil ancienne génération … tout au moins pou ceux qui ont le niveau minimum requis pour naviguer avec des ailes fines de petite surface. La glisse et la vitesse supérieures sont un peu la cerise sur le gâteau.

Conclusion

Au bilan, le C800 est réellement un foil attachant, et très facile à prendre en main. Le foil fournit un excellent niveau de performance, avec peu d’efforts, et il est accessible à la plupart des riders de bon niveau.  Certes, il n’aura probablement pas les performances ultimes d’un Phantom ou d’un Patrick, mais compte-tenu de sa facilité, il y a fort à parier que l’essentiel des pratiquants iront plus vite avec un modèle comme celui-ci qu’avec un modèle de course ultime.

En comparaison aves les autres modèles qui comptent à ce jour, je dirait qu'il est moins ambitieux que le Phantom en terme de proformance pure. Il reste derrière le F4 en terme de confrôle, mais lui vole quelques points concernant la glisse. C'est un compromis très intéressant accessible à de nombreux pratiquants.

La vraie question désormais est d’imaginer l’avenir commercial d’un tel modèle, car le marché a beaucoup évolué ces derniers temps. Désormais, l’essentiel des ventes de produits neufs se concentre autour des foils de course ultime. Y a-t-il encore de la place pour ce genre de modèle relativement onéreux, mais un cran en dessous, en terme de potentiel de performance pure ? Bien sûr, la réalité technique inciterait la plupart d’entre nous à se tourner vers ce type de foil, mais le feront-ils quand on voit l’ensemble des podiums trustés par des modèles plus ambitieux ? La question ne se posera peut être pas quand on quantifie la toute petite quantité de foils C800 produits ... mais je pesne que les quelques heureux acquéreurs ne bouderont pas leur plaisir. 

Flotteurs : JP Freefoil Pro 115, Phantom IRIS R 85 et Infinite Ltd 76

Foils : Patrik AEON S,  SabFoil Vento 85

Voiles : Severne Hyper 7 de 5 à 8m, NP FreeFlight 4.0

Wisbones : AL360 RTE poignée LISA, LISA Foil T1000 175-225 

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